Oups...{Rose & Carlisle & Bella}

J'avais entendu que la fille du chef était à l'hôpital. J'étais immédiatement allez dans la salle de consultation dans laquelle elle se trouvait, car je souhaitais la prendre en charge. Le chef Swan et moi avons toujours eu une bonne entente. De plus, j'étais impatient de voir a quoi ressembler la fille dont Edward était tomber amoureux, et dont le sang étaient devenu une telle obsession pour lui. J'arrivai donc dans la salle de consultation et pris le dossier de la jeune fille.

- Alors, il parait que la fille du chef est ici. Alors voyons voir Isabella, qu'est-ce qui t'es arriver?

Un accident de voiture apparemment. Ce fus sans surprise que je lus ça sur sa fiche. Il y avait du verglas dehors, et j'avais eu beaucoup de patient pour cette raison. Je souris a la fille du chef. Elle était mignonne, Edward avait du goût. Je pris ma lampe et commença par examiner ses yeux.

Après mon léger accident, on m'avait ammener a l'hôpital. Je n'avais rien,mais il fallait faire une visite quand même, pour voir si je n'avais vraiment rien. Un médecin au visage d'ange, blond et beau comme un dieu arriva avec mon dossier. Je lisais sur son badge qu'il s'appellait Carlisle Cullen. Alors c'était lui le père de Edward et les autres Cullen? Quelque chose m'échapper cependant. Pourquoi, alors qu'il n'avait pas vraiment de lien de parenté, biologiquement parlant du moins, ils se ressemblaient tous autant? Peau blanche, yeux brun-or, visage parfait. Je l'entendis dire qu'il avait entendu que la fille du chef était là, mais surtout, je l'avais entendu m'apeller Isabella. Je soupirai.

- Juste Bella.

Il commença par examiner mes yeux. Combien de fois allait il encore falloir que je répete que je n'avais rien?

- Tout va bien. Mais ça aurait était beaucoup plus grave si Edward n'avait pas été là. C'est vrai il était loin de moi et il est arriver si vite. C'était incroyable!

Je souris a la jeune femme, mais je continua mon examen.

- D'accord juste Bella. Tu ne semble rien avoir, mais il se pourrait que tu ai ce qu'on appelle un choque poste traumatique. Ça ne semble pas être grave, mais il faudrait quand même que tu sois surveiller de près. Au cas où, on ne sait jamais.

Je notais tout ça dans son dossier, très vite comme toujours. C'est là qu'elle parla d'Edward, qui lui avait sauver la vie. Non mais qu'est ce qui lui avait pris? Je me raidis, et fit un sourire crispé a Isabella.

- Et bien, il faut croire que tu as eu de la chance! Bon rétablissement Bella. Et ne n'oublie pas de faire attention a ne pas faire trop d'effort dans les prochains jours.

Je sortis immédiatement dans le couloir, a la recherche de mon fils. Il allait m'entendre celui là. Tiens et d'ailleurs apparemment Rosalie aussi avait entendu parlait de l'accident car elle n'était pas loin dans le couloir.

- Edward?!

J'avais tout vu, au lycée. L'accident je veux dire. Comme chaque jour a la même heure, Emmett, Alice, Jasper et moi sortions du lycée, l'heure pour nous de rentrer. Nous étions en route pour la voiture, lorsqu'on entendit un bruit de dérapement de pneu sur du verglas. La pauvre petite humaine allez être tuer par ce van ,c'était sûre. Je cherchais immédiatement Edward des yeux, par réflexe. Je ne fus même pas surprise quand je le vis repartir après avoir repousser le van. Ce gars là voulait faire connaître notre secret, c'était pas possible autrement. J'étais vraiment en colère et c'est pour cette raison que je laissai les autres en plan pour me rendre à l'hôpital. J'étais sûre que je trouverai quelqu'un là bas qui me soutiendrai, a savoir Carlisle. Je ne fut d'ailleurs pas surprise nous plus de voir Edward là-bas. Il devait sûrement attendre son humaine pour voir si elle avait compris ce qu'on était. C'est donc avec mauvaise humeur que je m'installai dans la salle d'attente. J'étais d'ailleurs tellement en colère que je n'ai pas parler a Edward, je l'ai simplement fusillait du regard. J'avais vraiment envie de le tuer. Puis, Carlisle arriva, et Edward pris immédiatement la parole. Je me levai.

- Ce n'était pas risquer, c'est du suicide! Oui, tu aurais du la laisser mourir. Des tas de gens meurent tous les jours. C'est pas parce qu'on est immortel qu'on doit jouer les super héros! On est les méchant je te rapelle!

Je regardai Edward, m'efforçant d'éviter de pensé parce qu'il y avait une chose que je détestais c'était bien qu'il lise dans mes pensés au lieu d'écouter ce que j'avais a dire. Mais Rosalie fut plus rapide que moi a lui répondre. Elle avait été très dure, mais ça ne m'étonnait pas d'elle. D'abord parce que c'était Rosalie, ensuite parce qu'elle avait peur pour notre secret.

- Rosalie s'il te plait!

Je regardai Edward. Je ne savais pas qui je devais être. Le père, le médecin, ou le vampire. Je décidais d'opter pour les trois a la fois.

- Edward, en tant que vampire, je te dis que effectivement tu aurais du faire ce que t'as dis Rosalie, ne pas mettre notre secret en danger. Mais après tout, le vampire n'est qu'une partie de toi. Tu es un homme et en tant que père et que médecin, je te dis que tu lui as sauver la vie et que tu as bien fait. Maintenant tu t'arrange toi même avec ta conscience. Fait juste en sorte qu'elle ne découvre pas notre secret, c'est dans notre intérêt a tous!

Je n'avais aucune idée de ce qui se passait dans le couloir entre la famille Cullen. Dès que le docteur Cullen était partit, moi et mon père somme sortit de la salle d'examen. Mon père avait commencer a signer tout les papiers, mais il m'avait dis d'apeller ma mère. Evidemment, il fallait qu'il ai prévenu ma mère. Elle allait s'inquiéter, je ferais bien de la rassurer. Je m'enfonçais dans le couloir, pas loin de l'entrée. Ma mère décrocha a la première sonnerie.

" Oui maman ... Non ne t'en fais pas ... Je vais bien ... Ne t'inquiète pas maman ... Je te jure que je n'ai rien de grave ... Passe le bonjour a Phil de ma part ... Je t'aime aussi maman."

Je raccochais le téléphone. Ma mère eut du mal a me croire mais je réussi a la convaincre . Je voulais parler a Edward, mais quand je m'approchais je vis que il était en pleine discution avec sa soeur et son père. Je soupirai.

" Exusez moi, je ne voulais pas vous dérangez."

Je fis demi tour, mal a l'aise de les avoirs déranger.

Je regardais Edward, et je soupirais. Que lui dire? Il était maintenant assez vieux pour savoir ce qu'il avait a faire. Je reconnus l'odeur de Bella. Je souris a Edward et lui tapota l'épaule.

- Fais comme tu le sens mon fils, j'ai confiance en toi.

Je vis que Bella s'en aller et je l'avais entendu s'excuser. Je reculais d'un pas.

- On va vous laisser. Rose?

Mais Rosalie ne bougeait pas d'un pas. Je la regardais d'un air sévère.

- Rosalie!

Je partis, Rosalie sur mes talons. Edward et Bella avaient besoin de s'expliquer.

Je sentis une odeur humaine qui me déplaisait fortement devenir de plus en plus forte. J'avais bien envie de lui sauter dessus et de la massacrer. Je n'avais jamais bu de sang humain, mais j'aurais donner n'importe quoi pour être débarrasser de cette jeune femme, pour conserver notre secret. Malheureusement il y avait deux raisons pour que je ne puisse pas le faire. La première était que nous étions entourer de beaucoup trop de monde, alors si je lui sautais dessus, il y avait peu de chance pour que notre secret reste secret. La deuxième raison était que j'y perdrais plus que je n'y gagnerais. Edward se vengerait, et Emmett suivrait. Notre famille se retrouverait totalement meurtris. Je continuais a songer a l'éventualité de l'égorgé, indifférente au fait qu'Edward lisait mes pensés, quand Carlisle m'ordonna de partir. Je ne pouvais plus rien faire, il fallait que je le suive.

* Fait attention a ce que tu vas dire!*

Je suivis ensuite Carlisle, Edward était maintenant mis en garde.

Je le vis se diriger vers moi. Aussitôt, mon cœur s'accéléra. J'avais envie de prendre mes jambes a mon cou et de partir en courant. Mais, mes jambes restaient scotchés à l'endroit où je m'étais arrêter quelque instants plus tôt. Pourquoi est-ce que chaque fois que son regard se trouvait malencontreusement dans ma direction, il fallait que je le fixe et que je reste planter là comme une idiote? Il s'approchait lentement, et j'eus juste le temps d'apercevoir sa sœur. Elle avait l'air en colère. En même temps, je ne savais pas bien pourquoi, après tout son frère venait de me sauver, elle devrait être fière. Il s'approcha, et une fois de plus je fus surprise par sa beauté, son absence de défaut, sa perfection. Je secouais légèrement la tête, de façon a me ramener les pieds sur terre. Mais un million de question résonnèrent dans ma tête en même temps, je lui posais donc la plus importante.

- Oui, grâce a toi .... Comment .... Comment t'as fait?

J'avais une furieuse envie de lui crier dessus. Oui, il m'avait sauver la vie. Mais pourquoi s'entêtait il a me faire passer pour une idiote? Je savais ce que j'avais vu et il pourrait me répéter tant qu'il le voudrait que j'avais halluciner, je savais ce que j'avais vu. N'oublions pas non plus que j'étais têtu comme une mule, et qu'il était hors de question que j'abandonne aussi facilement.

BELLA: LA CAMIONNETTE , TU L'AS STOPPE AVEC TA MAIN...

Je soutins son regard, mais avec un peu de colère au fond des yeux. Pour qui est-ce qu'il me prenait celui la?

BELLA : NON, TU ÉTAIS A COTE DE TA VOITURE , BIEN LOIN DE LA OU J'ÉTAIS. JE SAIS CE QUE J'AI VU, TU NE ME FERA PAS PASSER POUR UNE FOLLE!

[H.J: Contente de ton retour Edward ]

Je le regardais avec insistance, comme si allait surgir de nul par un détail qui pourrait expliquer comment il m'avait sauver. Peut-être étais-je brutal. Peut-être encore étais-je agacente. Mais peut importe, il me cachait quelque chose et j'étais plus que jamais déterminer a savoir de quoi il s'agissait. Si il n'avait pas voulu semer le trouble dans mon esprit déjà tourmenter par sa différence comme ça, et bien il n'avait cas me laisser mourir. Mais, ses paroles résonnèrent en moi encore et encore. Comment avais-je pu être aussi stupide, je ne l'avais même pas encore remercier. Immédiatement, je corrigeais mon erreur.

BELLA: JE TE REMERCIE ...

Mais il était claire que je n'allais pas passer a autre chose, et que j'allais encore moins oublier.

Comment avait il devinait que je n'oublierais pas? Il lisait dans mes pensés ou quoi? Ou alors l'expression de mon visage me trahissait, car personne ne peut lire dans les pensés, ce n'est qu'une pur légende, un mythe. Enfin en théorie du moins.

BELLA: NON ÇA NE RISQUE PAS!

J'avais la très net impression de lui taper sur les nerfs. Peut-être était-ce le cas d'ailleurs, mais il ne pouvait pas s'attendre a ce qu'il me sauve la vie, de cette manière en tous cas, et qu'ensuite j'oublie. Il fallait au moins que le choque passe, parce que là, j'étais légèrement retourner. Mais je ne comprenais pas a quel déception j'étais sensé me préparer. Que pouvais je apprendre a son sujet qui me décevrait tant? Je n'eus pas le loisir de me pencher plus longtemps sur la question que je le vis s'éloigner. Sympa, merci de me dire aurevoir. Je soupirai et c'est avec mauvaise humeur que je rentrais a la maison accompagner de Charlie.